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Il y a tellement de chose à voir sur le territoire Vallespir Canigó ! Un séjour vous suffira-t-il pour embrasser tout ce patrimoine ?
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VESTIGES DU CHÂTEAU DE MONDONY
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CASA RESTANY
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TOMBEAU DU SAMOURAÏ NOMURA KOSABURO
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CHAPELLE SAINTE MARGUERITE
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CHAPELLE DU ROSAIRE
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FONTAINE PAGES
Le territoire du Vallespir Canigó, situé au cœur des Pyrénées-Orientales, regorge de trésors culturels, naturels et historiques. De ses villages pittoresques à ses sites naturels remarquables, chaque commune offre des lieux à visiter qui racontent l’histoire et l’âme de cette région unique. Que vous soyez amateur d’histoire, de nature ou de culture, laissez-vous séduire par ces destinations incontournables du Vallespir Canigó.
Les Lieux de Visite par Commune
Amélie-les-Bains-Palalda
Le centre muséal, offre aux visiteurs des espaces d’expositions dédiés à la découverte du territoire et du patrimoine local grâce aux panneaux du Centre d’interprétation de l’architecture et du patrimoine (CIAP) du Pays d’art et d’histoire transfrontalier (PAHT) Les vallées catalanes. Vous pourrez également découvrir un centre d’interprétation Charles Rennie Mackintosh ainsi que des expositions temporaires d’art contemporain.
La ville d’Amélie-les-Bains est réputée pour ses sources thermales depuis l’époque romaine. Les vestiges des thermes romains témoignent de cette longue tradition de bien-être. Les thermes organisent des visites guidées, renseignements auprès des Thermes d’Amélie-les-Bains-Palalda.
Palalda :
Ce hameau adjacent à Amélie-les-Bains se distingue par son caractère médiéval et son église romane, véritable havre de tranquillité et de beauté architecturale.
La Casa Restany à Amélie-les-Bains est un lieu pour la production et la diffusion d’œuvres contemporaines, où l’on montre de l’art, où l’on accueille et guide les publics, où l’on mène des actions d’éducation culturelle et artistique. Vous pourrez y découvrir des expositions temporaires sur l’art contemporain.
La Micro-Folie d’Amélie-les-Bains :
Dispositif culturel au service des territoires, impulsé par le Ministère de la Culture et développé par l’établissement public du Parc de la Villette. La Micro-Folie d’Amélie-les-Bains réunit un musée numérique, un fab lab, un espace de réalité virtuelle, une bibliothèque – ludothèque, un espace convivialité et scénique.
Chapelle de tradition romane du XIIe siècle. C’est à la dévotion de « Sainte Engrâce de Saragosse », vierge et martyr, que l’on devrait sa construction. L’église Sainte Engrâce de Montdoni est mentionnée en 1285 et en 1369, un moine portait le titre de prieur de Sainte Engrâce. En 2004, grâce à l’association locale « Sauvegarde du patrimoine » la chapelle a été rénovée. Ouvert toute l’année, accessible après une randonnée.
Arles-sur-Tech
Fondée en 778, cette abbaye bénédictine est l’un des joyaux du patrimoine religieux des Pyrénées. Ne manquez pas la célèbre sainte tombeau, qui attire de nombreux visiteurs.
La Sainte Tombe d’Arles-sur-Tech : un mystère millénaire :
- Un sarcophage exceptionnel : Ce sarcophage de marbre blanc du IVe siècle est situé dans l’abbaye Sainte-Marie d’Arles-sur-Tech.
- Une source d’eau intarissable : De manière inexplicable, une source d’eau pure jaillit en permanence du sarcophage.
- Une légende millénaire : Elle raconte que, les reliques des saints Abdon et Sennen y furent cachées, et que depuis, l’eau a acquis des propriétés miraculeuses.
- Un lieu de pèlerinage : Depuis des siècles, la Sainte Tombe attire de nombreux pèlerins en quête de guérison ou de spiritualité.
- Un mystère scientifique : Malgré de nombreuses études, l’origine de cette eau et ses propriétés restent inexpliquées.
En résumé,la Sainte Tombe est un lieu unique, mêlant histoire, légende et mystère. Elle est un témoignage de la foi et de la spiritualité, tout en posant des questions scientifiques fascinantes.
Le Moulin des Arts et de l’Artisanat Boutique et Ateliers à ARLES SUR TECH :
Découvrez les savoir-faire actuels dans un site, témoin du passé industriel. A l’entrée une boutique d’une quinzaine de créateurs du territoire vous accueillent sur 250m2 d’exposition. Dans l’allée, sur votre droite, un petit escalier vous conduira sur une terrasse ensoleillée pour découvrir des ateliers de peinture et de créations artistiques. Le long du chemin, n’hésitez pas à pousser la porte de chaque atelier pour rentrer dans les coulisses du temps et de tous les savoir-faire. Ateliers de Dinanderie, vitrail et fusing, bijoux, ferronnerie, céramique, peinture, fonderie, atelier peinture, gravure, La Nau Centre de création transfrontalier. Visitez le Conservatoire des Tissages et sa salle des machines et découvrez les anciens métiers à tisser de nos ancêtres.
Corsavy
Située à l’entrée du village en arrivant d’Arles sur Tech, cette chapelle à l’architecture romane fut consacrée en 1158 pour devenir l’église paroissiale, sa construction remonterait au Xᵉ siècle. Remarquez ses oculus qui font pénétrer la lumière du soleil dans l’église ainsi que l’imposante tour du clocher restaurée grâce à l’association Salvaguarda de Sant Marti de Cortsaví.
est une tour circulaire avec un contrefort en demi-lune coté montagne, postérieur à sa construction d’origine. Il semble que de toute évidence, ce contrefort fut construit pour empêcher la tour de basculer dans le ravin. Cette tour avait pour fonction d’envoyer ou de transmettre un signal aux guetteurs des autres tours de la région lors d’invasions, c’est une tour dite à signaux. La tour n’est pas visitable mais vous pourrez l’approcher et en faire le tour. Il y a un très beau panorama sur le village de Corsavy et sur le Vallespir jusqu’à la mer. Érigées au XIIIème siècle par Jacques II de Majorque, ces tours pour la plupart installées sur les crêtes des montagnes, établissaient ainsi un véritable réseau de communication par signaux de fumée. Le signal était envoyé grâce à un feu allumé au sommet de la tour. L’on pouvait ainsi prévenir la vallée d’une attaque.
Située sur la commune de Corsavy, elle surplombe le col de la Descargue, fièrement dressée sur un pic rocheux de la crête du Puig de l’Estelle, premier contrefort du Canigou. Les tours à signaux des Pyrénées Orientales sont un exemple d’un réseau complexe de surveillance et de communication développée à partir du XIIème siècle sur ordre de Jacques II de Majorque. Des guetteurs y émettaient des signaux codifiés de fumée le jour, de feu lumineux la nuit, en particulier pour diffuser l’alerte lors des invasions normandes. La tour de Batère communiquait avec les autres tours du Vallespir (une quinzaine) et la tour Del Far et celles de la plaine (une quarantaine). Ce réseau déclina à partir du XVème.
Coustouges
Église Sainte-Marie XIIᵉ siècle : L’édifice actuel dans son ensemble est à situer à la date de consécration 1142. La cuve baptismale romane étonne par ses grandes dimensions. La grille du sanctuaire est l’un des chefs-d’œuvre de la ferronnerie roussillonnaise par sa qualité et son ampleur. Dans la nef, sur le sol, une immense cuve rectangulaire de granit qui a perdu son couvercle. Le clocher tout en grès rose est de la même époque que l’église.
La Bastide
A l’origine, une église était dédiée à Saint Jean (certainement l’église du château). Une seconde église, paroissiale cette fois, toute proche, était dédiée à l’archange Michel (abside encore visible, prise dans une construction plus tardive). Au XIIIème siècle, à la faveur de la fortification de la place, l’église du château fut agrandie et devint paroissiale. Le culte de Saint Michel y supplanta celui de Saint Jean. L’édifice, roman à l’origine, a subi de multiples aménagements ou restaurations éloignant toujours plus du schéma primitif.
au cœur du village. Il communiquait par signaux avec le château de Bellpuig et la tour de Batère.
Lamanère
Le point le plus au sud de la France :
Lamanère est le village le plus méridional de la France métropolitaine. Un lieu symbolique et pittoresque à découvrir lors d’une balade.
Le Tech
L’Église Saint-Martin du Tech :
Cette église a été détruite en 1940 lors des inondations, puis reconstruite en 1952. Seul le clocher est d’origine, celui-ci possède 2 cloches Denis, Laurent, Christophe pour la première et Jeanne Marie Rosalie pour la seconde.
Montbolo
Église romane du Xᵉ siècle avec sa vierge à l’enfant du XVᵉ siècle et son retable en bois sculpté doré à l’or fin du XVIIᵉ siècle.
Montferrer
Le Château de Mollet à Montferrer :
Le château de Mollet à Montferrer appartenait aux seigneurs de Castelnou. Rendu inutilisable par Vauban suite à la révolte paysanne des Angelets, vous y trouverez quelques vestiges comme la porte fortifiée et des murs d’enceinte.
L’Église Sainte-Marie de Mollet :
Dédiée à la Vierge, cette l’église du XIIème siècle est classée monument historique. A l’interieur un intéressant sarcophage de 1322, un encensoir au poinçon de Perpignan daté de 1637 et un beau retable ornent le maître-autel exécuté de 1708 à 1725
Prats-de-Mollo-la-Preste
Ville fortifiée de Prats-de-Mollo-la-Preste:
Prats-de-Mollo-la-Preste, classé parmi les Plus Beaux Villages de France, veille sur la vallée du Tech, au cœur des Pyrénées-Orientales. Ce village fortifié, traversé par le torrent de la Guillème, se divise en deux : la ville basse abrite d’anciennes maisons bourgeoises, une église et une maison de ville du XVIIe siècle. Ses rues escarpées et ses ruelles tortueuses bordées de maisons étroites confèrent à la ville haute un charme médiéval, autrefois dominée par un château royal.
L’enceinte médiévale, remaniée au XVIIe siècle par Vauban, est ponctuée de chemins de ronde, échauguettes et portes à bretèches. Le majestueux Fort Lagarde, qui surplombe la cité, offre une vue imprenable sur la vallée et plonge les visiteurs dans l’histoire militaire de la région.
Destiné à surveiller la frontière franco-espagnole, le Fort Lagarde surplombe la ville fortifiée de Prats-de-Mollo-la-Preste. Au cœur du monument, une tour à signaux médiévale domine le donjon, renforcé à partir de 1686 par Vauban. Une voie de repli militaire relie le Fort à la ville, créant ainsi un ensemble architectural remarquable. Différents modes de découverte : visite individuelle, visite guidée, visite contée, visite animée « Le Fort prend garde » (voir l’agenda des festivités)…
Un lieu de détente et de soins, idéal pour une pause bien-être en pleine nature.
Installée dans une ancienne usine textile réhabilitée, vous pourrez découvrir une exposition permanente présentant l’histoire et le patrimoine de notre destination, mais aussi son lien étroit avec 3 comarques de la catalogne sud: Ripolles, Garrotxa et Alt Empordà ! Découvrez les particularités de chaque village, les traditions et fêtes de notre vallée, mais aussi l’architecture et les particularités de nos paysages !
La Verneda accueille également des expositions temporaires au cours de l’année. C’est aussi le siège du GECT, Pays d’Art et d’Histoire Transfrontalier.
La Verneda Vallespir Canigó
Église saintes juste et Ruffine :
A l’origine du village à la fin du IXème siècle, l’église paroissiale, imposante par ses dimensions, a été reconstruite à deux reprises au XIIIème siècle et au XVIIème siècle. Elle témoigne de la splendeur passée de Prats-de-Mollo par la profusion de son mobilier d’art baroque.
Saint-Laurent-de-Cerdans
Au XIXᵉ siècle, l’espadrille est née à Saint-Laurent-de-Cerdans, transformant un artisanat ancestral en une industrie prospère qui a soutenu toute une vallée pendant près de cent ans. Aujourd’hui, les espadrilles catalanes, appelées « Vigatanes » (prononcer « bigatanes »), sont fabriquées dans un atelier aménagé dans une ancienne usine rénovée. Les créations allient modernité et tradition grâce aux tissus colorés des « Toiles du Soleil », tout en respectant les méthodes artisanales. Une boutique attenante permet d’observer la fabrication en direct, et des visites commentées sont proposées pour partager ce savoir-faire unique.
La Maison du Patrimoine et de la Mémoire « André Abet » :
Installée dans les locaux de l’ancienne coopérative ouvrière « l’Union Sandalière » (1923), ce lieu de mémoire collective propose une reconstitution d’une usine d’espadrilles et de tissage. Il retrace également l’histoire de La Retirada, l’exode des Républicains espagnols accueillis à Saint-Laurent-de-Cerdans en janvier et février 1939. Sur les 70 000 réfugiés ayant transité par la commune, 5 000 ont été hébergés sur place, les blessés et malades étant pris en charge au deuxième étage de ce bâtiment chargé d’histoire.
Église de Saint-Laurent-de-Cerdans :
Le village de Saint-Laurent-de-Cerdans est né au XIᵉ siècle autour de la construction de son église. Celle-ci, édifiée sous l’autorité des moines de l’abbaye d’Arles-sur-Tech (fondée au IXᵉ siècle), visait à rassembler les habitants dispersés des métairies des collines des Albères autour d’un lieu à la fois religieux et défensif. Dédiée à Saint Laurent, l’église a donné son nom au village. Ce n’est qu’en 1168, au XIIᵉ siècle, que le terme « Cerdans » apparaît, dérivé du nom des Cérètes, un peuple primitif de la région, sans aucun lien avec la Cerdagne.
Chapelle Notre Dame de la Sort :
À l’extérieur, une pierre servant de banc semble provenir de l’ancien fronton portant l’inscription partiellement effacée « de la Sort 1691 ». Cette date pourrait correspondre à la construction du premier édifice, tandis que celle gravée sur le portail, 1755, indiquerait la date de l’édifice actuel. De style gothique, il se distingue par ses voûtes en croisées d’ogives. La statue de la patronne des lieux, trônant au maître-autel, est un mannequin sculpté uniquement au niveau de la tête et des mains. Autrefois, les jeunes hommes se confiaient à cette vierge avant de participer au tirage au sort pour la conscription.
Saint-Marsal
Église du XIIIᵉ siècle avec un bénitier en marbre rouge du XVIIᵉ siècle.
Serralongue
Les Tours de Cabrenç : Les tours de Cabrenç constituent un ensemble défensif médiéval des XIᵉ et XIIIᵉ siècles, situé à la frontière des communes de Lamanère et Serralongue, dans les Pyrénées-Orientales. Perché sur un éperon rocheux dominant les vallées, le site comprend un château en ruines, trois tours, et les vestiges d’une chapelle dédiée à Saint-Michel. Ce patrimoine, composé notamment d’une tour à signaux et d’un fortin restauré, est accessible par des sentiers de randonnée depuis Lamanère ou Serralongue (environ 3 h 30 à 4 h 30 de marche). Les clés des tours peuvent être retirées auprès des Bistrots de Pays ou des mairies locales. Classé Monument historique, le site a obtenu cette reconnaissance pour la tour médiane et les ruines du château en 1988, et pour la tour nord en 1994.
Eglise Sainte-Marie de Serralongue : Cette église romane des XIᵉ et XIIᵉ siècles, construite en granit rose et bleu, se distingue par son portail monumental à quatre voussures et sa porte à deux vantaux ornée de pentures en fer forgé catalan, avec un verrou en forme de dragon. À l’intérieur, on peut admirer un retable baroque en bois polychrome et doré datant de 1713, quatre chapelles latérales, une roue à cloches du XIIᵉ siècle appelée « Rodella » avec ses 12 cloches représentant les apôtres, ainsi qu’une croix des outrages du XVᵉ siècle. L’église abrite également l’ossuaire d’un comte de Cabrenç, décédé lors d’une croisade à Jérusalem. Classée monument historique depuis le 13 décembre 1948, elle est reliée au Conjurador par un petit chemin pittoresque.
Le Conjurador de Serralongue :
datant du XIVᵉ siècle, est un édifice cubique unique en France, dont chaque face est orientée vers un point cardinal. Autrefois, des processions y étaient organisées pour conjurer le mauvais temps et protéger les récoltes.
Taulis
- L’Église paroissiale Saint-Jean de l’évangeliste : Une église simple mais charmante, qui raconte l’histoire de ce petit village du Vallespir.
Pour résumer
Le Vallespir Canigó est un territoire riche en histoire et en paysages à explorer. Chaque village et chaque site vous transporte dans une autre époque, tout en vous offrant des panoramas naturels d’une beauté à couper le souffle. Passionnés d’histoire, de culture ou de nature, le Vallespir Canigó saura vous surprendre et vous charmer.